Papier d Arménie à la rose

Le carnet -La fragrance du papier d'arménie à la rose est imaginée en 2009 par Francis Kurkdjian, créateur parfumeur de renom.

Composée de roses importées d’Iran et de Turquie, elle offre un diptyque olfactif porté par une rose gourmande et fruitée comme une confiture de pétales aux accents miélés.

Conservant les notes orientales qu’on lui connaît, ce carnet séduit par son parfum à la rose et offre des senteurs exclusives.

L'histoire du Papier d'Arménie commence à la fin du XIXe siècle. Auguste Ponsot découvre, en Arménie, que les habitants parfument et désinfectent leurs maisons en faisant brûler du Benjoin, un arbre connu des parfumeurs pour son odeur. Auguste Ponsot décide avec le pharmacien Henri Rivier, d'adapter cette tradition en France.

Un produit écologique et peu onéreux, utile, antiseptique et odorant pour chasser les mauvaises odeurs. Henri Rivier a l'idée de dissoudre le Benjoin dans de l'alcool à 90°, avec un support papier buvard. On obtient alors un mélange aromatique agréable et tenace, qui brûle lentement sans faire de flammes, tout en conservant l'odeur originelle du Benjoin. Le Papier d'Arménie est couronné de succès à l'Exposition d'hygiène de 1888, ainsi qu'à l'Exposition universelle de 1889.

Utilisation du Papier d'Arménie :
Plier le Papier d'Arménie en accordéon, approcher une allumette, puis éteindre la flamme pour laisser le papier se consumer.
Une lamelle de Papier d'Arménie qui a été brûlée dans une pièce de 20 m², parfume l’atmosphère pendant 2 à 3 jours.